Accueil / A la Une / RENTREE BUDGETAIRE 2022 DU MINISTERE DE LA JUSTICE ET DES DROITS DE L’HOMME : LES RESPONSABLES DE PROGRAMMES ET GESTIONNAIRES DE CREDITS INSTRUITS SUR LA MISE EN ŒUVRE DU BUDGET-PROGRAMMES 2022

RENTREE BUDGETAIRE 2022 DU MINISTERE DE LA JUSTICE ET DES DROITS DE L’HOMME : LES RESPONSABLES DE PROGRAMMES ET GESTIONNAIRES DE CREDITS INSTRUITS SUR LA MISE EN ŒUVRE DU BUDGET-PROGRAMMES 2022

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La Direction des Affaires Financières du Ministère de la Justice et des Droits de l’Homme a organisé, du 9 au 11 février dernier, un séminaire de formation, à Grand-Bassam, à l’attention des acteurs de la dépense publique dudit ministère, en présence du Directeur de Cabinet, Bernard KOUASSI, représentant le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Jean Sansan KAMBILE, des autorités administratives de la ville Grand-Bassam, notamment, le Secrétaire Général de préfecture, LAGO Marius, représentant Madame le Préfet de Grand-Bassam, et le Docteur Edouard Cangah MOCKEY, 5ème adjoint au maire, représentant le Maire de Grand-Bassam.

En effet, depuis 2020, l’État de Côte d’Ivoire est passé du budget de moyens au budget de programmes. La finalité du budget-programmes est de permettre aux acteurs de la dépense publique d’atteindre les objectifs qui leur sont assignés, sur la base des moyens qui leur sont octroyés ; alors que le budget de moyens imposait aux gestionnairex de crédit d’absorber la totalité de ressources mises à leur disposition par l’État.

Dans son allocution d’ouverture, le Directeur des Affaires Financières du Ministère de la Justice et des Droits de l’Homme (MJDH), Abdramane DAHO a fait savoir que le but de ce séminaire est d’outiller les acteurs de la dépense publique pour une bonne mise en œuvre de la gestion du budget-programmes, de la comptabilité matière et des procédures de passation et d’exécution des marchés publics.

Prenant la parole, le Directeur de Cabinet, présidant la cérémonie d’ouverture, a rappelé que la mise en place du budget-programmes a entrainé des responsabilités nouvelles pour les acteurs de la dépense publique, qui doivent pouvoir absorber les budgets mis à leur disposition, mais aussi et surtout, atteindre les résultats escomptés et rendre compte au peuple de Côte d’Ivoire de leur gestion.

Au terme de ces trois (3) jours de séminaire, ponctués par des débats et des échanges autour de la question, douze (12) recommandations ont été formulées afin que le taux d’exécution du budget 2021, estimé à 97,56 %, puisse atteindre les 99% pour l’année budgétaire 2022.

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